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2011-01-18T10:01:00+01:00

Cette naissance... (Partie I)

Publié par Adrianne

Et oui l'annonce aurait dûe etre faite ici... Mais ma soeur a assurée l'interim sur www.ninitiou.over-blog.com. Je reprends donc les rennes ici, pour tout reprendre depuis le début et vous raconter en details et en emotions ces 20 derniers jours.

 

Nael---Soren-3.jpg

 

  

 

  

Tout d'abord laissez moi vous presenter mes petits pains suédois:

 

 

 

Soren (A droite), né jeudi 6 janvier 2011, à 07h31, 45 cm, 2kg170,

&

Nael (A gauche), né jeudi 6 janvier 2011, à 07h43, 45cm, 2kg250.

 

 

 

Commencons par le début, à savoir mes quelques jours d'hospitalisation avant la naissance...

 

 

Jeudi 30 Décembre, 08h30.

Adrien dors en haut. je regarde Louca qui dort à côté de moi sur le canapé lit du salon. Il m'y a rejoint cette nuit. Il se reveille, me fait un calin et demande les dessins animés. Moi je n'ai rien dormis de la nuit. Des contractions m'ont reveillées regulierement. J'envoie un sms à Adrien pour le reveiller et lui signifier mon intention de retourner à la maternité. Pas par flemme, mais juste pour ne pas avoir à hurler, ou à monter les escaliers comme une tortue sur le dos pourrait envisager de le faire. On prépare mes affaires cette fois, je déjeune, et monte dans le taxis que j'ai appelé un peu plus tôt. Adrien reste avec Louca. Je le tiendrais au courant.

 

10h52.

On me prends rapidement en charge puisque j'ai appelé avant de venir. On m'installe en salle d'examen, qui n'est autre qu'une salle de pré travaille. Monitoring, toucher vaginal, ouverte à 2 doigts large à l'orifice interne, on décide de stopper les contractions, et ainsi d'arrêter, une nouvelle fois, un accouchement prématuré. Je suis alors à 33 SA+3 jours. J'ai le droit à ma perfusion de tractocile et ma première piqure de corticoïdes dans les miches. A ce moment je sais que j'en ai au moins pour 48h.Je préviens ma mère qui passe me voir vers 11h, et Adrien vient au nouvelles avec Louca. Mon fils n'aura juste pas le droit de venir me voir, tant que je ne serais pas de nouveau installé dans une chambre sur service des grossesse à haut risques que j'avais quitté 2 semaines plus tôt...

 

12h36.

Toujours des contractions, toujours aux urgences. Mais les sages femmes se montre rassurantes. Quoiqu'il arrive, des bébés de 33 SA elles en ont vus et des bien portants. On rit même, et je fais mon possible pour ne pas subir tout cela. Je parviens encore à ce moment là, à lacher prise et à prendre les choses avec le plus de recul possible. J'essaye de dormir un peu, car je n'ai toujours pas le droit de manger. Tout juste de boire.

 

16h46.

Le travail n'avance pas. Le col ne bouge pas, mais les contractions ne s'arrêtent pas pour autant. Elles ne me font pas mal, c'est juste fatiguant de devoir respirer plus fort lorsqu'elles arrivent. Je me laisse examiner avec le sourire, mais me parasiter de produit chimique va à l'encontre totale de mes convictions personnelles. Je patiente encore, essayant de me persuader que ces prochaines 48h ne sont pas tant utiles pour le tractocile censé arreter le travaille, mais que son peu d'efficacité, peu permettre aux corticoides de faire leur effet sur les poumons des petits. Je n'ai rien mangé depuis 9h ce matin, et je suis fatiguée.

 

17h53.

Je rejoins enfin ma chambre. Fort heureusement, je retrouve celle que j'avais lors de ma première hospitalisation et ma super collocataire, toujours allitée pour une fissure de la poche des eaux. Tant mieux, je suis contente et soulagée, nous savons vivre l'une avec l'autre, on sait qu'on s'entand bien, jusqu'à choisir le même programme à la télé et ne pas se telescoper pour la salle de bain... Je suis vraiment contente de retrouver Alexandra, mais je commence à regretter d'être venue. Je ne sais pas pourquoi, quelque chose de triste s'installe tout au fond de moi et ne me quittera plus jusqu'à la naissance. Je perds mon optimisme, et mon ventre commence à prendre trop de place dans ma vie.

 

18h03.

Une gynecobs passe. C'est celle qui m'avait carrement traitée d'inconsciente lors de mon premier passage aux urgences alors même qu'on ignorait la présence des jumeaux. J'avais eu le malheur de lui preciser que si je n'étais pas suivit à l'hopital c'était parceque je comptais accoucher chez moi. Ce à quoi elle avait répondu je vous le rappelle: ''J'espère simplement que vous arriverez en vie jusqu'ici...''

Cette fois elle remplit son rôle de grosse conne à merveille, me regardant toujours comme une tarée: - ''Hors de question que vous accouchiez pour le moment. Vos bébés passent en premier, vous ne voudriez pas qu'ils arrivent en mauvaise santé, faites donc un petit effort...''. Et là le vide, un terrible bond en arrière de 3 ans. Je perd tout mes moyens et la colère monte. Je me depossède à nouveau de tout ce que j'ai mis tant de temps à me reapproprier. Je veux rentrer chez moi, après l'avoir etranglé et pondre mes gosses dans la baignoire plutôt que de lui accorder encore une seul regard...

Pire, ma colloc', avec sa fissure de la poche des eaux, ses maning 1 jour sur 2, et ses monito 2 fois par jour est à 32 SA. Sa fille est estimée à un poids d'1kg600 alors que les miens faisait ce poids là à 30sa seulement. Elle n'a pas d'infection et tient le coup depuis 1 mois et demi comme une mercenaire. J'admire sa patience et sa force de caractère. Seulement ils sont categorique, pour elle, si le travaille se lance, il laisseront faire. Les bras m'en tombent. Sans svoir pourquoi, ni me poser la questio de savoir s'ils serotn en bonne santé ou pas, j'encourage mes bébés à lutter contre ce poison qu'on m'injecte dans les veines et qui perturbe le court naturel des choses, mais sans succes. le col, ne bouge pas et les contractions continuent.

 

19h29.

J'ai mangé et j'ai le moral à 0. Je regrette d'être venue. J'ai fais confiance aux medecins en pensant que mon avis compterait. Ma famille me manques déjà.

 

21h57.

Je perds l'integralité du bouchon muqueux. Les medecins mettent ça sur le compte des touchers vaginaux que l'on ma fait et refuse de me deperfuser. La sage-femme m'ecoute patiemment, elle me tiens la main et essuie mes larmes. Elle comprends ce que j'essaye de lui expliquer et se sens demunie. Je m'apperçoie alors qu'ils m'ont rajouté une perfusion de xanax, de spasfon et de doliprane. Au comble de la rage, j'exige qu'on ne me la renouvelle pas, car elle arrive à la fin. Cette fois-ci on m'ecoutera. J'ai tellement les boules que je decide de refuser quoiqu'il arrive toute nouvelle perfusion, même de glucose uniquement. Les contractions sont toujours là, mais je ne lutte pas. Je les accueilles avec tellement de force que les anti douleurs qu'on me propose me paraissent completement innapropriés à la situation. J'essaye de dormir.

 

Vendredi 31 décembre, 03h28.

A la demande de la sage-femme, je m'en vais la prevenir que les contractions m'ont reveillées. A peine ai-je ouvert la porte (le bureau est pile en face et je ne voulais pas reveiller alexandra) que je tombe nez à nez avec la ''gynéconne'' de tout à l'heure. Elle me palpe le ventre sans menagement, ni regard pour moi, me reproche de m'être levée et me renvoie me coucher en ordonnant à la sage femme de ne rien faire de plus. Les larmes coulent dans le noir, je commence à desesperer. Je n'ai plus d'emprise sur rien.

 

06h15.

Je ne dors toujours pas. Je rappelle la sage femme qui m'examine. Cette saloperie de col n'a toujours pas bougé. Un comble lorsqu'on est hospitalisé pour la deuxième fois pour menace d'accouchement prématuré. Je suis si abbatue, que je me dis que si les contractions continuent une fois le protocole de tractocile terminé, et qu'elles ne sont pas plus efficaces, je suis prete à renoncer à ce bel accouchement auquel je me préparais et à supplier pour de nouveau etre declanchée.

 

14h29.

Une autre gynéco, passe avec toutes sa clique d'interne et de sage femme. Elle ne m'a jamais vu, ne me connais pas et parle carrement d'un retour à la maison après la deperfusion. Selon elle, une fois le protocle terminé, je dois faire ma vie et attendre que ça vienne. je suis sidérée. Tout ça pour ça? Je n'y comprends plus rien, cela semble une bonne nouvelle et pourtant je suis completement perdue. Elle n'est pas cntre un declanchement si les contractions inneficaces ne s'arretent pas mais pas avant 37SA!!! Je suis clame et impassible mais je me vois entrain de leur arracher les yeux en même temps que tout ces fils qui me branchent et me relie au corps medical. Je hurle et je me barre, on ne m'ecoute pas. Alors j'ouvre à nouveau les yeux et ils sont toujours là, notant consciencieusement des phrases inutiles sur leur tablettes.  Ils font comme bon leur semble, parce que, bien sûr, eux, ils savent.

 

18h10.

Je ne cesse de plaider doucement ma cause auprès des infirmières. Je veux qu'on me debranche. Je me bat contre moi-même et les psychiatre commencent à debarquer regulierement dans ma chambre. Je commence à paniquer. J'annonce la couleur. Personne ne m'enverra de nouveau en psychiatrie parce que j'essaye d'être moi-même et de faire respecter mes convictions. Je ne suis pas celle qu'ils croient. Je pense à mes enfants, mais ce sont bien de la faute des medecins s'ils prennent à present tant de place. Il m'ont interdit de recuperer mon ventre et tout le travaille que j'avais accomplit ces derniers moi est réduit à néant. Je comprends qu'il faut que je me reprenne. Adrien bien qu'il fasse tout ce qu'il peut pour etre present, n'est pas là. Il n'est pas dans ma chaire, il n'est pas avec moi et je me bat seule depuis des mois pendant qu'il prépare l'arrivée materielle des petits et se rassure comme il peux en cultivant ses prioritées personnelles. On ne se voit plus on ne se touche plus, on se parle de loin alors que nous sommes pourtant si proche. Je doi faire un travail de deuil. Sur tout un tas de chose, je dois à tout pris sauver ce qu'il me reste et m'accrocher pour que cela se termine bien. Je ne me lacherai pas la main. Je reprends courage et me regarde dans la glace aussi souvent que possible. Je puise en moi, toujours persuadée que tout ira pour le mieux, quoiqu'il arrive. Ce petit bout de confiance est là, tout au fond, il chasse la tristesse et la colère devient rage pour mieux me maintenir à flot. C'est la tempête à l'interieur de mon crane et je tente de m'appaiser tant bien que mal. Je passe ma dernière nuit blanche, ne trouvant rien de mieux à faire que de me mordre les poignets pour gerer cet ouragan que rien à part moi ne pourrais appaiser.

 

Samedi et Dimanche.

Je les passerais à essayer de rassembler les morceaux. On me deperfusera. On attendras. Personne, de toute façon, ne sort ou n'en sait plus le week-end. Les sages-femme prennent soin de moi. Elles sont deux, semble t'il à voir la peine dans mes yeux. Ce melange de culpabilité et de revolte, si bien caché derrière des larmes silencieuses. Grace à elles, je me resigne dans la calme et parviens à trouver en raclant bien au font, un semblant de serenité.

 

Lundi.

Je continue à me recentrer sur moi, tant bien que mal. Mais en plein milieux de la nuit, Alexandra appelle. La sage femme la met sous monito, l'examine et le verdict est sans appel: Elle va donner naissance à sa fille. Derrière mon paravent, les larmes coulent, mon monde s'ecroule de nouveau, mes yeux s'equarquillent et je laisse echapper un: non, non, pas maintenant... silencieux. Cela ne se peux pas. pas elle, pas maintenant. pas avant moi. Je suis heureuse pour elle bien sûr, mais c'est trop, je m'habille, essayant de lui cacher mon etat pour ne pas l'inquieter, ni lui faire croire qu'elle est pour quelque chose dans ma peine, et passe devant la sage femme en essayant de lui baragouiner quelque chose comme: je vais faire un tour.

Je me cloitre dans l'obscurité dun petit salon d'attente du service. Je regarde à travers la vitre et je pleure, je me vide, je lache prise. Je me mord encore en essayant de me persuader qu'il faut prendre du recul. Je ne parviens pas à savoir pourquoi tout cela me tient tellement à coeur, pourquoi tout cela me parait si absurde. C'est juste le moment je le sais. Cela devait etre mon tour! Je ne comprends pas. C'est impossible... Lorsque je rentre dans ma chambre, Alexandra est en train de pousser en salle d'accouchement et la sage femme m'attends. Elle me tient de nouveau la main et je sens son regard bienveillant qui me veille. Je finis par m'endormir apres avoir parlé dans la nuit à une alexandra dejà sur pied apres un accouchement rapide, venue s'enquerir de mon etat. Je me sens nulle, petite, j'ai honte de moi, et de suscicter tant d'interet mal placée. Elle doit profiter, je lui assure de la joie que j'ai pour elle. Sa fille est en neonatologie et elle y restera longtemps, mais elle va bien et c'est le principal.

 

Mardi.

La sage femme vient me faire lire ce qu'elle à inscrit dans mon dossier. Ses mots sonnent justes. Elle a parlé de moi aux medecins. Elle a plaidé mon cas, elle s'est battue pour faire entendre ma toute petite voix. J'ai envie de la serrer contre moi. Dans la matinée, une autre sage femme vient me chercher et avec un sourir complice m'annonce: allez madame Sanchis venez avec moi, on va vous decoller les membranes... (Comprenez desolidariser la poche des eaux des parois de l'uterus grace  un toucher vaginal approfondi, bon appetit). Elle me demande si j'ai mal et me dit de la prevenir si c'est trop douloureux. Je ris, je revis. Je lui rappelle que je suis certainement la dernière personne à me plaindre d'un tel traitement, et que la moindre douleur sera considérée comme la bienvenue et un début de quelque chose d'enfin normal et naturel. Je guette les contractions douloureuse. Mais elles se gerent trop bien, s'espacent trop souvent. Cela ne fonctionne pas.

 

Mercredi.

Redecollement des membranes. On m'annonce que si je n'ai pas accouché d'ici demain 10h, on me declanchera à l'ocitocinon. Je passe encore la journée, jusqu'à 21h le soir à compter ces erzatz de travail. Je finis par abandonner corps et ame, en me rendant à l'evidence. Je me suis gourée. Je ne devais pas accoucher finalement. J'ai echouée. Je ne suis pas parvenue à mener à bien cette seconde grossesse de façon naturelle et evidente. Je vais être declanchée et je m'endors pleine de culpabilité. j'ai vraiment tout foiré.

 

 

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commentaires
F
<br /> Et ben moi je voulais juste te dire que je suis fière de toi....<br /> Tu te devalorise pas mal, tu as porte 2 enfants et tu as accouche du mieux que tu as pu....<br /> Comme tu le sais je prepare un AAD, lui aussi perturbe mais par manque de sage femme....j'espere avoir ta force pour surmonter tout ça si ça dois se finir à l'hopital...<br /> Je n'aime pas particulièrement etre enceinte, les petits coup si mais tout le reste non, en gros je passe 9 mois à me plaindre....et ben c'est comme ça, je suis comme ça, je l'assume meme si c'est<br /> dur....<br /> Encore une fois FELICITATION pour la naissance de tes enfants, tu peux etre fière de toi, vraiment....<br /> Je sais a quel point ces mots font du bien avec la chute des hormones "tu es une bonne maman et tu fais au mieux que tu peux et c'est déjà enorme"<br /> Bonne journée à toi<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> non mais serieusement va falloir arreter avec vos messages dans le genre parceque je vais pas tenir le coup moi. J'arrete pas de pleure à cause de vos conneries!!!!!<br /> <br /> <br /> J'ai beau pas vous connaitre si vous saviez a quel point vous m'etre precieuses...<br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> J'ai oublié de te dire que j'ai eu une sage femme fantastique,vraiment pour mon accouchement,je suis tres heureuse!!!Je te raconterai si tu veux!<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Rooo ouiiii avec un plaisir immeeeeeeense tu le sais bien!<br /> <br /> <br /> <br />
B
<br /> Ma Sarah,<br /> Je comprends tellement tout ce que tu as pu ressentir,combien tu as du te sentir seule parfois et desemparée!!!<br /> Je suis vraiment fiere de toi et de ce que tu as accomplis...<br /> J' ai été déclenché et je l'ai mal vécu...vraiment...et je n'ai pas su l'exprimer!<br /> J'ai donc vécu bizarrement mon accouchement, et le rapport avec ma fille le premier mois a ete tres compliqué!<br /> Cela s'arrange petit à petit, mais bon je sais aussi qu'il y a une histoire sous ce mal etre, il n'y a pas que le declenchement meme si il y est pour bcp!!!<br /> Enfin pour revenir à toi je te souhaite vraiment plein de bonheur et j'ai hate de te voir!<br /> GROS BISOUS<br /> Géraldine<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> C'est vrai? Tu ne m'as jamais raconté... C'est de ma faute on ne se vois plus assez souvent. J'aurais aimé etre plus presente pour toi durant ta grossesse. J'ai un peu l'impression d'avoir<br /> faillit à mon rôle d'amies et je ne suis pas très fière de moi.<br /> <br /> <br /> Je t'embrasse fort aussi. C'est bon de te lire.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> Pfiouuuu je suis dans tous mes états :'(<br /> <br /> Tu dis qu'ils n'ont pas le temps... Pourtant parmi eux, on arrive parfois à trouver des perles qui allient travail sérieux et compassion humaine, c'est donc que c'est possible ! Et nos sages-femmes<br /> indépendantes qui accouchent des femmes à domicile, en maison de naissance, elles sont là pleines de compassion et de tendresse tout en faisant un boulot impeccable... Vraiment je ne comprends plus<br /> la médecine moderne, elle me dégoute tellement souvent :'(<br /> <br /> Je suis tellement désolée des épreuves que tu as subies avant d'accoucher, avec ce magnifique chemin personnel que tu as parcouru, tu méritais tellement plus.<br /> <br /> Je t'embrasse fort belle ninie<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> ooooh oui, je suis terriblement touchée d'avoir eu la chance de tomber sur ces deux femme exceptionnelles sans qui je me serais surement perdue en chemin. J'essaye surement de ne pas garder de<br /> rancoeur envers le corps medicale plus pour ne pas entacher mon souvenir de cette grossesse que pour les epargner reellement ou leur trouver des excuses.<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> Punaise ma cherie j’en pleure un truc de malade<br /> Je viens de revivre les comportements a la c*n que j’ai eu en accouchant avec les replique de la 1ere gynecobs… Tu vois que toi aussi tu es une guerriere, mon héroïne ^^<br /> J’ai hate de lire la suite mais je sens gros qu’il va falloir sortir la boite de mouchoir…<br /> T’as été trop forte !!!<br /> gros bibis<br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Ma fioreline adorée. On aurais pu se tenir la main dis donc. C'est fou ce qu'on peu developpercomme instinct de survit dans ces moments la lol.<br /> <br /> <br /> Tu as raison pour la suite on ne sait jamais, prevois le paquet de kleenex lol. Je ne m'arrete pas à l'accouchement mais bel et bien au retour a la maison. Car une mise au monde n'est pas qu'un<br /> jour dans une vie, il est entourée d'un avant et d'un après tout aussi important.<br /> <br /> <br /> <br />

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